actualité

Si vous vivez à l'étranger, pouvez-vous me signaler les passages de " Pas de Pitié pour les Croissants " dans votre pays. J'ai besoin du nom de la chaîne qui diffuse, le titre de l'épisode et si possible la date de diffusion. Vous pouvez même envoyer les photocopies des pages des magazines télé qui annoncent les diffusions, à cette adresse : promo@francoiscorbier.com
Je vous en remercie. Ariane, Jacky, et Patrick se joignent à moi.
Notre avocat aussi.

<BLOCKQUOTE>Changement d'horaire


L'autre nuit à deux heures du matin nous avons tous gagné une heure de sommeil sauf ceux qui avaient mis leur réveil à deux heures du matin pour retarder leur montre d'une heure et ce faisant avaient mis deux heures pour s'endormir à nouveau, perdant du coup une heure de sommeil... (1)
(1) Je pense que je viens de frôler une fois de plus le génie

</BLOCKQUOTE>




<BLOCKQUOTE>Culs-de-jatte
</BLOCKQUOTE>

<BLOCKQUOTE>Quant au risque de m'asphyxier
Je retire mes savates
Il m'arrive d'envier
Le sort des culs-de-jatte</BLOCKQUOTE>




<BLOCKQUOTE>Rendez-vous

Novembre
<BLOCKQUOTE>Le 18
Brive la Gaillarde (19)
Soirée privée

Le 25
Festival Top in Humour
Salle des Fêtes de Gasville-Oiseme (Eure et Loir)
Renseignements : 02 37 31 66 05 - 06 83 54 17 08
Tarif 10 et 15 Euros </BLOCKQUOTE>Décembre</BLOCKQUOTE>

Le 8
Valenciennes
Le Royal Colisée
13 Rue Tholozé.
renseignements et reservations : 03 27 40 03
(tram et train)
6 Euros. Places en vente à la Fnac.
Concert avec plusieurs groupes / Je termine la soirée.
Ouverture des portes à 19 H 30

Le 31
Lyon
Le Thou Bout de Chant
1 Rue du Thou, 69001 Lyon
Renseignements : [email]thouboutdchant@wanadoo.fr[/email] Janvier 07

Le 18
Concert avec musiciens
Chartres
Renseignements :[email]Matthieu.miegeville@jerkov.fr[/email]

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<BLOCKQUOTE>[color=#301108]Le 25
18 heures
La Halte du Pré Chabert
Le-Monétier-les-Bains Serre Chevalier 1500
05220 - Serre-Chevalier
Renseignements OT Serre Chevalier 04 92 24 98 98 </BLOCKQUOTE>Février
<BLOCKQUOTE>Le 9
Charnay les Mâcon </BLOCKQUOTE>[color:ef43=#301108:ef43]
</BLOCKQUOTE>




<BLOCKQUOTE>Avis à la population </BLOCKQUOTE>

J'ai reçu ce mail. J'ai téléphoné à la SDRM qui m'a bien confirmé la véracité de l'histoire. Je vous en fais donc profiter. Nous faisons un métier où tout ce qui peut nous nuire doit être connu pour être évité. Vous voilà prévenus.
<BLOCKQUOTE>Artistes, distributeurs ou labels qui avez signé avec Jacques Dejean de Sergent-Major Company, en distribution, éditions ou licence</BLOCKQUOTE>

<BLOCKQUOTE>
<BLOCKQUOTE>Cet individu est dangereux et connu des services juridiques de la Sacem, condamné à plusieurs reprises par les tribunaux de Paris pour faux, usage de faux, contrefaçon, trafic de signatures, et il est actuellement en procès avec plusieurs artistes.
Par ces temps où il devient extrêmement difficile de vivre de son art, ce monsieur prend un diabolique plaisir à spolier les artistes et c'est insupportable !!!
À travers cette chaîne que nous formons, il est impératif de nous tenir informés les uns les autres de ses moindres faits, gestes et déplacements !
Quelques témoignages sont sur ce blog :http:// sergentmajorcompany.blogspot.com
Faites circuler cette info. Merci à tous. </BLOCKQUOTE></BLOCKQUOTE>




<BLOCKQUOTE>Mauvaises impressions

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<BLOCKQUOTE>C'est étrange comme les mauvaises impressions peuvent me traverser la tête. Je ne sais pas comment vous êtes faits, mais moi c'est terrible, je vois toujours le pire truc. Je marche dans la forêt… Je la vois bien prendre feu ! Je traverse la rue ? J'imagine parfaitement comment un connard va me renverser avec sa chiotte de merde. Il pleut ? O.K ça glisse… Bon je suis comme ça, et il n'est plus temps de chercher à me transformer : c'est trop tard. Pourquoi je vous raconte ça ? Ben… Comment dire…. Figurez-vous que l'autre jour dans le poste, j'ai entendu deux types de l'UMP, et pas des moindres, le Premier Ministre était l'un des deux et le second était peut-être bien un sénateur, dire " qu'il ne serait pas normal que Monsieur Le Pen ne puisse pas se présenter aux élections présidentielles ".
En clair cela signifie que les cadres de l'UMP demandent à leurs adhérents, maires de petites communes, d'accorder leur " imprimatur " à la requête du leader d'extrême-droite afin qu'il ait les cinq cents signatures requises pour se présenter à l'investiture nationale.
En toute logique, l'UMP devrait plutôt se réjouir d'avoir un adversaire de moins, mais non… Ça les ennuie ces braves gens... Monsieur Le Pen est un type qui brusquement devient parfaitement respectable et qu'il est souhaitable d'avoir pour adversaire...
Étrange tout de même…
Alors je me suis dit : " Mon petit Corbier, cette histoire, ça pue ! " et d'un coup mes yeux se sont dessillés ! Bon sang mais c'est bien sûr, que j'me suis dit ! Si Le Pen se présente, les anti-Sarko de l'UMP porteront leurs voix au premier tour sur Le Pen… Deux, trois pour cent de voix en plus pour le patron de l'extrême-droite, c'est deux ou trois pour cent de voix en moins pour Sarko, qui pourrait bien alors quitter la compétition dès le premier tour…. Ensuite bien évidemment, les voix de l'UMP se reporteraient au second tour sur le représentant de la gauche… Surtout si le représentant de la gauche est une représentante, dont les idées ne sont pas si éloignées que ça des idées de la droite démocratique.
Amusant non ? La haine de Chirac pour Sarko est telle que ce schéma n'aurait rien de bien étonnant… À suivre.

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Mutualité
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Une charmante chanteuse que je ne connais pas, Élaine Kibaro, me téléphone un après-midi et me demande un petit mot pour la paix dans le monde. Je lui réponds je ne sais plus trop quelle ânerie et nous nous mettons à parler. Elle me dit qu'elle organise à la Mutualité un spectacle sous l'égide de l'ONU dans le cadre de la Semaine Mondiale pour le Désarmement, en soutien à l'action de " Urgence Humanitaire au Vietnam " et " Femmes Internationales Murs Brisés ", avec le concours bénévole d'Enrico Macias, Charlotte de Turkheim, Rachid Bahri, Stone, Karim Kacel… Je lui propose de participer. Comme elle ne connaît pas mes chansons actuelles, je lui fais parvenir un CD et quelques jours plus tard je reçois un nouveau coup de fil d'Élaine qui m'apprend que je fais partie du show. Le 15 Octobre, je déboule à la Mutu pour faire l'andouille avec mes copains Gégé et Patrick. Il est 18 heures passées de 10 minutes quand je me pointe rue St Victor devant une palissade masquant des travaux. C'est dimanche. Le trottoir est défoncé, il y a dix bagnoles garées là. Je coupe le moteur. Je suis arrivé.
En entrant dans les coulisses, je croise Lalanne qui n'a pas l'air de bonne humeur et disparaît. Aucune répétition n'a été prévue. Nous chantons tous en play-back. Une chanson chacun, deux pour les vraies stars. Je n'en fais qu'une. J'ai opté pour Règles Bleues. La soirée avance. La salle est pleine. Pas mal de gosses, des adultes aussi heureusement. Après chaque chanteur, de bonnes âmes viennent parler des dangers de ceci, de cela. Cette soirée ne transpire pas trop la joie, mais par chance on sent qu'il y a une sorte de communion… voire d'amour universel qui tombe sur les épaules de l'impétrant.
Voilà Rémy Brika et ses colombes. Il a l'air en pleine forme. La dernière fois que je l'avais vu, c'était à la télé dans une émission où il expliquait qu'il parlait aux arbres… Il m'avait fait un peu peur. Là, il a l'air bien. Souriant et en forme. Tant mieux. Il a sa guitare, son tambour dans le dos, un pouêt-pouêt et des explosifs… Il fait un tabac. Voilà Jane Manson. Elle me donne encore une fois son adresse… Nous sommes voisins de campagne, et chaque fois que je la croise, elle m'invite ! Ah ! Si elle m'avait invité voici trente ans… Lalanne est revenu. Il chante une sorte de psaume a capella… Un truc qu'il a dû composer spécialement pour l'occasion. Un long texte sur la paix…
Rika Zaraï est là aussi. Nous parlons de son nouveau livre. Ses mémoires. Elle fait fatiguée, l'ancienne bidasse, mais en montant sur scène, immédiatement, elle donne l'impression de retrouver ses jambes et son cœur de sergent-chef de l'armée d'Israël… On attend Rachid Bahri… On vient d'annoncer qu'il est coincé entre deux avions… Tiens voilà Bernard Menez. Il va chanter Le Déserteur de Boris Vian. Il est toujours aussi sympa. Il s'intéresse à mon ukulélé. On lui fait la chanson rien que pour lui dans la loge. Il se met à chanter avec nous. Il a une bonne oreille. Il chante juste. Il a trouvé l'harmonie. Quand il sort de scène, il vient me dire au revoir et se sauve en me disant : "Tu m'excuses de ne pas rester, mais je n'ai pas dormi trois heures depuis trois jours.." Et hop il n'est plus là. C'est Linda de Souza qui l'a remplacé. Volubile, et une allure de jeune fille aux cheveux blonds et roux ! Elle est entourée d'une ribambelle de jeunes gens empressés à lui faire plaisir. Elle rayonne. Elle est en pétard. Comme d'hab. Voilà vingt ans que je la connais. Elle a toujours la rage ! T'as pas intérêt à lui dire non ; elle est capable de te balancer une mandale dans la tronche ! Étonnante Linda.
Ça y est. On m'a annoncé. Me voilà sur le plateau.
Je suis à la Mutualité ! Je n'en reviens pas. Je suis là où j'ai toujours rêvé d'être et de chanter. Il y a quarante ans ou plus, j'y étais venu applaudir Ferré, Brassens, et je ne sais plus qui encore. À cette époque, la Fédération Anarchiste, Mouvement Louise Michel, y organisait des concerts dont les recettes servaient à soutenir une cause, une idée, pour trouver du fric et payer les procès, aider les objecteurs de conscience, griffer les curés, ou pour le plaisir de se retrouver entre bizarres, étranges, et marginaux… On pouvait y croiser Sartre, des ouvriers, des comédiens célèbres, des inconnus, et des stars. Tous unis dans la salle pour gueuler en harmonie leur désaccord avec Debré (le père) De Gaulle… Des types vendaient à l'entrée " La Calotte " le journal le plus anti-clérical de l'époque. Je me demande s'il existe encore le canard de Lorulot. Je me souviens y avoir rencontré, moitié clochard, moitié fou, mais rayonnant et délirant, écolo avant l'heure, pédalant et vendant son journal (le plus régulier de la presse sporadique…) dans le hall. Mouna. Sponsorisé par Albert Einstein ! Géant !
Bon sang, ce que j'étais content d'être spectateur de ces soirées. La police cernait le quartier… J'avais l'impression d'appartenir à un autre monde, de contribuer à faire bouger la pensée, les consciences, en payant ma place pour venir écouter là ces chanteurs que j'aimais. Quarante ans après c'est à mon tour d'être sur cette scène… C'est moi. Là. À la place qu'occupaient toutes ces personnes qui ont tellement participé de ce que je suis. J'en frissonne de bonheur. Bon, d'un autre côté, je ne suis pas dupe. Je sais bien que je ne suis là que pour une seule chanson… en play-back… et qu'il n'y a pas de quoi en faire un fromage, mais quand même… Quand même…
En reprenant ma bagnole, je découvre, aimablement déposé sous l'essuie-glace, un P.V à 35 euros pour stationnement sur le trottoir !!!
Merde ! Vive l'anarchie…

crédit deuxieme photo : © AWcreations.com / Angelique Le Goupil </BLOCKQUOTE>




<BLOCKQUOTE>La chanson inédite : Aime-moi </BLOCKQUOTE>

Je suis né à Paris, mon prénom c'est François
Je joue de la guitare et si j'ai le poil blanc
C'est qu'il en est passé des semaines et des mois
Depuis que j'ai quitté le ventre de maman
Aime-moi

Mon père s'était enfui, habillé de guenilles,
De la terre nazie, un lamentable été.
Et lorsque je suis né, 3 rue de la Bastille
J'ai découvert le monde mais mon père l'a quitté.
Aime-moi

C'est entre deux ménages et trois coups de grelots
Que grand-père et mamée concierges parisiens
M'ont enseigné les maths l'histoire et la philo
Et appris à danser la bouteille à la main
Aime-moi

Grand-père était un rouge, il allait poing en l'air
De meeting en meeting l'invective au museau
Et ma rousse mamée, le nez dans les soupières,
Rêvait de crinolines, calèches et blancs chevaux
Aime-moi

Mes journées sans école, c'était tous les jeudis,
Dressé dans mes galoches et sous mon béret bleu
J'allais avec mamée faire les épiceries
Pour trouver la moins chère on courait les banlieues
Aime-moi

En règle générale l'épicier était brun
Il avait une réserve au fond du magasin
Et mamée en sortait le corsage détruit
Minaudant : " l'épicier a de superbes fruits "
Aime-moi

Je n'avais qu'une idole mon grand-père ma star
Qui d'un coude levait six verres de vin à l'heure
Il m'apprenait à rire en rêvant du grand soir
Sans armée sans curé sans patron sans douleur
Aime-moi

Un matin, il m'a dit je te lègue mon verre
J'ai trois trucs à chanter chez le barbu d'en haut
Je l'ai vu s'en aller la casquette à l'envers
Moulinant de la canne. On aurait dit Charlot
Aime-moi

<BLOCKQUOTE>
Il n'est pas revenu alors j'ai pris sa place
Devant son verre de blanc à l'entrée du bistrot
J'ai adopté ses rêves, je refais ses grimaces
Demain pour le meeting j'aurai ses calicots
Aime-moi

</BLOCKQUOTE>




<BLOCKQUOTE>
Merci Philippe

Un copain qui s'intéresse à l'écriture des chansons m'a fait parvenir cette chanson flash. Tiens, et si on en faisait un jeu ? Vous m'envoyez vos chansons flash et je publie les meilleures…. Quatre vers qui riment pour raconter une histoire. À vos crayons ! </BLOCKQUOTE>

<BLOCKQUOTE>
<BLOCKQUOTE>Toute sa vie, il demeura sobre
Jusqu'à ce dernier jour d'octobre
Où il mourut et qu'on le mit en terre :
C'était la première fois qu'il se prenait une bière ! (1)</BLOCKQUOTE>(1) Moi j'aime bien.


</BLOCKQUOTE>




<BLOCKQUOTE>Dieppe </BLOCKQUOTE>

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Je ne suis pas un spécialiste de la mode vestimentaire et pour être tout à fait franc je ne me sens pas très concerné par la forme ou la couleur de la culotte que porte le mannequin.
On m'avait invité au Grand Casino de Dieppe pour faire jury d'un concours de miss mannequin. Jamais je n'avais assisté à un spectacle de ce genre. Première surprise, la salle était pleine. Quand tu sais la difficulté qu'ont les programmateurs pour faire venir du public à un spectacle de comédie ou de chant, tu as de quoi être un peu interloqué. Les gens payent pour voir des gonzesses de 17 ans marcher en imitant un cheval, la tête haute et le sourire niais… Des gens payent pour ça ! Personnellement ça ne m'arrivera jamais. Comment noter des jeunes filles qui rêvent de voir leurs jolis museaux sur les pages glacées des magazines glamour ? Comment dire à celle-ci : " Ma pauvre chérie, tu as trop de fesses ? " À celle-là : " Pas assez de nichons ! ", Ou bien : " tu portes la culotte comme Dagobert ! ". C'est épouvantable d'avoir à juger des gosses qui rêvent. Non, ce n'est pas épouvantable, c'est malsain !
Cela dit, je ne me suis pas ennuyé. J'ai bien mangé, le vin était bon, les couleurs étaient belles, les demoiselles jolies comme tout. J'ai fait le boulot. J'ai voté. J'ai fait la photo avec les miss, j'ai applaudi la collection d'un jeune créateur, mais franchement, et en toute amitié pour les organisateurs qui avaient eu la gentillesse de m'inviter, je me demande encore pourquoi j'étais là… On m'a demandé de chanter une chanson en play-back parce que techniquement ça rendait service et j'ai fait le parrain pour une jeune et jolie Marlène à la voix ensorcelante, qui elle, pouvait chanter en direct avec deux musiciens… Au fait, pourquoi n'as-tu pas chanté en français, Marlène ? J'ai applaudi des danseurs qui ont remporté un concours de danse sur TF1 l'été dernier, mais qui mettaient dix minutes entre deux danses pour changer de chemise, et se la pétaient grave surtout le danseur, mais la danseuse était superbe… On ne peut pas tout avoir et la perfection n'est pas de ce monde... En fait tout était plutôt bien, mais il n'empêche que j'avais l'impression de ne pas être à ma place. Je suis persuadé qu'il doit y avoir des personnes beaucoup plus compétentes que moi pour juger et apprécier ce genre de soirée, mais j'en conserverai un bon souvenir. Merci à Mickaël Vallet qui s'est démené comme un beau diable pour organiser ce show sans aide aucune, malgré les promesses des radios locales et autres commanditaires prompts à faire la sourde oreille, car manifestement organiser une pareille soirée c'est du boulot. Bravo au décorateur, au sonorisateur, à l'éclairagiste. Merci à la présidente de l'assoc' qui organisait la fête. Merci au public d'être venu. Merci encore de m'avoir invité et si bien accueilli.
Merci.
Au fait, à qui j'envoie ma note de frais ?…

</BLOCKQUOTE>




<BLOCKQUOTE>
Retrouvé

Grâce au travail minutieux d'un ami fan, j'ai récupéré un texte datant de 1984 (?) que j'avais complètement oublié. On est loin du chef-d'œuvre, mais l'idée est assez amusante et je me suis dit que vous aimeriez sans doute en profiter aussi. Le voici.</BLOCKQUOTE>

<BLOCKQUOTE>
<BLOCKQUOTE>Rien que d'y penser, ça me rend malade !
Pour que je me serve d'un crayon
Il a fallu abattre un arbre
Et creuser une mine de charbon.
Et des crayons j'en use 3000 par an
Pour toute ma vie, ça fera l'équivalent
De la forêt de Fontainebleau
Et 18 tonnes de charbon du Creusot !
Rien que d'y penser, ça me déprime.
Pour dessiner des petits Mickey
J'ai vidé en encre de Chine
7812 encriers.
Et toutes mes gommes, si on les empilait
Sûr que la tour Eiffel on la dépasserait
De 4 kilomètres au moins.
Et en plus personne ne veut de mes dessins.</BLOCKQUOTE>
</BLOCKQUOTE>




<BLOCKQUOTE>Mons </BLOCKQUOTE>

<BLOCKQUOTE>
Mons est une ville de Belges comme Sainte-Adresse est une ville d'Havrais….
De chez moi à Mons il faut compter trois heures trente, quatre heures de route. En clair ce n'est pas la porte à côté, et j'avais un peu la pétoche que ce soit une de ces soirées à galère comme il m'en arrive, hélas, quelquefois. En fait cette soirée privée dans un cadre universitaire s'est passée merveilleusement bien.
Une sono tout à fait correcte. Une scène sympa. De bons éclairages. La salle bondée : 200 personnes assises. Et un public très généreux. Quand la chanson plaisait, j'avais droit à une chanson de félicitations de la part des étudiants… À des " Corbier, Président! "… J'ai fait une heure trente de concert. Ovation debout. Deux rappels. Et… J'ai chanté en troisième rappel après cinq minutes de demande… " Sans ma Barbe ". D'ordinaire je ne chante plus cette chanson ni d'autres de l'époque télé, mais là, je ne voyais pas comment faire autrement : j'étais cerné et il n'y avait pas d'issue de secours.
J'ai sauvé ma peau…
En plus on m'a invité dans un excellent restaurant et l'hôtel était parfait.
Cerise sur le gâteau, j'ai retrouvé mon copain Marc Farrel qui faisait jadis musicien de Salvator Adamo et que j'ai connu au Club Med en 65 à Cefalu. Il chantait remarquablement bien et n'a rien perdu de sa superbe. La country lui va à merveille. J'ai d'ailleurs fait la route du retour avec son CD. Le temps est passé très vite.

</BLOCKQUOTE>




<BLOCKQUOTE>
Poème </BLOCKQUOTE>

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C'est pas facile c'est pas aisé
De dire la saveur des baisers
Ses lèvres avaient le goût des mangues
Nos bouches parlaient la même langue.

</BLOCKQUOTE>




<BLOCKQUOTE>Banjo</BLOCKQUOTE>